
CommuniquéSanté, Société
"La médecine spécialisée est encore plus touchée par le renoncement aux soins que la médecine générale"
le 30 septembre 2022
Un entretien avec Héléna Revil, responsable scientifique de l’ODENORE, sur les facteurs du renoncement aux soins.
Coût, délai d’attente, pénurie de médecins, isolement social… Les motifs qui conduisent à ne pas se faire soigner sont divers, explique Héléna Revil, chercheuse en science politique et responsable scientifique de l’Observatoire des non-recours aux droits et services (ODENORE), dans un entretien publié par "Le Monde" le 27/09. Une personne sur quatre serait concernée.
Propos recueillis par Camille Stromboni.
Alors que la densité de médecins se détériore ces dernières années dans de nombreuses spécialités, qu’en est-il du renoncement aux soins chez les patients ?
Nous avons mené entre 2014 et 2020, avant la crise sanitaire, une enquête de grande envergure avec l’Assurance-maladie portant sur 160 000 personnes, le « baromètre du renoncement aux soins ». Il a abouti au résultat suivant : une personne sur quatre déclare avoir renoncé à au moins un soin durant la dernière année.
Article complet à lire dans "Le Monde" (Accès réservé aux abonnés).
Propos recueillis par Camille Stromboni.
Alors que la densité de médecins se détériore ces dernières années dans de nombreuses spécialités, qu’en est-il du renoncement aux soins chez les patients ?
Nous avons mené entre 2014 et 2020, avant la crise sanitaire, une enquête de grande envergure avec l’Assurance-maladie portant sur 160 000 personnes, le « baromètre du renoncement aux soins ». Il a abouti au résultat suivant : une personne sur quatre déclare avoir renoncé à au moins un soin durant la dernière année.
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Mis à jour le 30 septembre 2022